Une évolution constante
La formation continue occupe une place de plus en plus importante dans notre société. En effet, les métiers, et donc les connaissances et les compétences, sont en transformation constante. Le besoin de se former en permanence est par conséquent de plus en plus présent dans un monde en perpétuel changement.
La formation elle-même évolue constamment. Qui peut dire en effet si ce qu'il apprend aujourd'hui sera encore valable dans cinq ans?
En outre, le changement se fait de plus en plus rapide, notamment avec l'avènement des technologies mobiles. En 2012, le nombre d'appareils mobiles a dépassé celui des ordinateurs.
Pour en savoir plus sur la montée en flèche des smartphones et des tablettes
Ces évolutions rendent la continuité de la formation naturelle, sachant que celle-ci doit aussi s'adapter à son époque en termes de support et de contenu.
Tout le monde est concerné!
Selon une estimation publiée sur le site de la FSEA (Fédération suisse pour la formation continue), le marché de la formation continue représente environ 5.3 milliards de francs suisses, soit environ 20% des 26 milliards que la Suisse investit chaque année dans l'éducation.
3.4 millions de personnes ont participé à au moins une activité de formation continue en 2009, soit 80% de la population résidante permanente de 25 à 64 ans, selon l'Office fédéral de la statistique.
Tout le monde professionnel est donc concerné. Et ce, aussi bien en Suisse que chez nos voisins européens.
Pour en savoir plus
D'anciens métiers disparaissent, de nouveaux apparaissent. Parmi ceux qui perdurent, rares sont ceux qui demeurent inchangés…
La réponse du CeRFI
Pour répondre à ces besoins constamment évolutifs, le CeRFI, basé à Carouge (Genève) et à Lausanne, a revu l'ensemble de son portefeuille de séminaires pour développer une offre de formation efficace, axée sur des cas concrets auxquels sont confrontées les entreprises.
Exemple: un séminaire d'un jour sur le pilotage financier.
D'autres séminaires sont disponibles, dans lesquels la formation se calque sur les évolutions les plus récentes du marché.
Apprendre, ne jamais cesser d'apprendre
La fluidité générale de l'économie entraîne une mobilité professionnelle croissante. Qu'il s'agisse de réorientation professionnelle ou de changement au sein de son métier, la formation continue, continue, continue…
Rares sont les entreprises qui ne comprennent pas la nécessité de faire évoluer la formation de leurs cadres. Elles en payent généralement le prix.
Au CeRFI, nous estimons que l'augmentation de la demande de formation continue en Suisse est inéluctable et qu'elle est liée à une compétitivité croissante tant au niveau suisse qu'international, mais aussi à l'évolution de la structure des coûts de production et de main d'œuvre.
Internet, "boosteur" de la formation continue
La transmission des connaissances par l'Internet et ses outils (e-learning, m-learning, webcasts, podcasts, etc.) exerce un impact considérable et croissant sur les métiers de la formation continue.
La formation en ligne (e-learning) devrait doubler en 2014 par rapport à 2009. Elle est estimée à presque 50 milliards de dollars par l'organisme de recherche américain Ambient Insight.
Cette somme inclut les dépenses effectuées dans plusieurs catégories de technologies de formation de pointe, notamment les contenus packagés, les plates-formes d'apprentissage, ainsi que les services de développement de contenus.
Il est évident que la formation à distance va avoir de plus en plus d'impact sur la formation continue, et même sur l'éducation de base. Le gain de temps généré par les nouveaux outils constitue un avantage considérable, notamment en termes de déplacement, puisque la formation peut être envisagée aussi bien dans un transport public que depuis son canapé.
En plus, les gens peuvent accéder aussi bien à des formations professionnelles que privées sur un seul support.
Le CeRFI, précurseur de l’e-learning
Le CeRFI a été la première société de service en informatique, possédant un centre de formation, à s'engager dans la formation en ligne. Il est éditeur d'une plate-forme d'e-learning, myTeacher, depuis l'année 2000.
Cette plate-forme est aujourd'hui utilisée par de nombreuses entreprises suisses, pour la formation continue de leurs employés. Tous les thèmes de formation sont concernés, de la bureautique jusqu'à la criminologie, en passant par des formations sur les droits successoraux, le cerveau, ou encore le stockage des déchets en milieu hospitalier.
E-learning + formation en salle = un tout
Si toutes les connaissances ne peuvent pas transiter par Internet, elles ne peuvent pas s'acquérir non plus par une simple "présence" dans une salle de cours.
"L'éducation n'est pas soluble instantanément, elle demande un certain travail personnel avant d'être intégrée." Corinne Sauge, Présidente du CeRFI
Mêmes pour les formations sur l'usage d'outils, qu'ils soient informatiques ou autre, le contact personnel reste profitable.
Ce qui est souvent recherché dans la formation en salle, c'est l'interaction entre les élèves et le professeur, ainsi que l'interaction entre les élèves eux-mêmes, sachant que cette interaction peut être complétée avec des outils Internet, comme le chat, le forum, l'e-mail, etc.
Quelle que soit la matière enseignée, tout est dans le dosage entre l'auto-formation (en ligne) et la formation accompagnée (en salle), sachant que le plus important est dans le "calibrage" des meilleurs "ingrédients" avec la bonne "posologie" selon le public cible et les objectifs de formation.
C'est ce qu'on appelle "blended learning", qu'on pourrait renommer "amalgam learning", alliage de formations diverses. Cela ne s'improvise pas, comme on ne s'improvise pas cuisinier professionnel. Seule l'expérience donne raison à celui qui a pratiqué la "recette" et qui a évolué avec son environnement, pendant de nombreuses années.
"L’expérience ne trompe jamais. Elle n’est jamais en défaut. Seul l’est notre jugement, qui attend d’elle des choses étrangères à son pouvoir." Extrait des prophéties de Leonard de Vinci
La formation continue, et continuera…
Le CeRFI a 15 années d'expérience à son actif. Il a été parmi les pionniers, le premier peut-être à oser parler de formation en ligne et de formation mixte. Il a essuyé les interdits du "e" au début des années 2000, suite à la crise économique du Web. Il n'a jamais lâché sa croyance en cette modalité de formation, pour lui la plus adaptée, et la seule qui résistera au monde d'aujourd'hui et de demain.
L'introduction des nouvelles technologies fait bouger les métiers. Le coût de la main d'œuvre éduquée est moins élevé dans les pays en développement. Ce phénomène fait pression sur la main d'œuvre des pays développés.
D'où la nécessité d'apprendre et, même, de ne jamais cesser d'apprendre si l'on ne veut pas se retrouver marginalisé sur le marché de l'emploi. L'apprentissage continu s'impose donc avec force dans le monde professionnel, et touche tous les échelons, employés autant que cadres.
